- Hallo ami GUÉRISON MALADIE ET LECTURE INFO DERNIER, Dans l'article que vous lisez cette fois avec le titre , nous avons bien préparé pour cet article que vous lisez et télécharger les informations qui y sont. nous espérons pourvoir les postes article INFORMATIONS GÉNÉRALES, article PLUS TARD, article SANTÉ, nous écrivons peut comprendre. Eh bien, bonne lecture.

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La Péritonite Infectieuse Féline, dite PIF.


C'est une maladie est en extension au niveau mondial. En général, 1 à 5 % des chatons issus des refuges et chatterie meurent de la PIF . Selon Pederson la plupart des décès se produisent chez les chats de 3 à 16 mois et rare après 3 à 5 ans (1).
Cette maladie est inscrite dans la loi du 22 juin 1989 sur les vices rédhibitoires

La connaissance de la PIF remonte en 1963 quand Holzworth en a parlé pour la première fois à un colloque à Boston. C'est quelques années après que l'agent responsable fut identifié par Ward  : un virus apparenté au Coronavirus du tube digestif.
Mais ce sont surtout les travaux de Pederson et de Vennema qui ont démontré que le virus FIPV était une forme mutante du virus FeCV.

L'agent responsable :

Le virus de la Péritonite Infectieuse Féline (FIPV) est donc une forme mutante du coronavirus intestinal ( FeCV). Le FeCV semblerait être présent dans les fèces de plus d'un chat sur deux.
Sa présence passe souvent inaperçue. Quelques chats peuvent présenter des troubles digestifs bénins comme des vomissements ou de la diarrhée.
Les chats porteurs « sains » peuvent excréter le FeCV durant de nombreuses années.
Les chatons sont particulièrement sensibles au FIPV. Leur contamination est plus élevée dans les élevages et les refuges
La PIF est sur représentée dans certaines races pures (comme le Burmèse, le Shorthair et Cornish Rex) et sous représenté dans d'autres races (chat européen à poil court et Persan).
Les mâles entiers semblent présenter une prévalence plus élevée à contracter cette maladie.
Toutefois , il y a des variations à prendre en considération selon les pays.
On parle de plus en plus de lignées susceptibles à développer la PIF au sein d'une même race.

LES SYMPTÔMES :

Ils sont très divers en raison des multiples localisations du virus (2) :
-amaigrissement progressif
-anorexie
-abattement
-hyperthermie
- ictère(jaunisse) en cas d'atteinte hépatique
-uvéite en cas d'atteinte oculaire.
-dyspnée (difficultés respiratoires) en cas d'atteinte respiratoire
-crises convulsives en cas d'atteinte nerveuse
-distension abdominale (ascite) en cas d’épanchement péritonéal
-lymphadénomégalie

LE DIAGNOSTIC :

La forme humide :

Elle est plus facile à diagnostiquer avec la présence d'un épanchement pleural ou abdominal.
Le liquide est de couleur jaune citrin, épais, sans germe mais avec la présence de globules blancs neutrophiles.

La forme sèche : (3)

Elle peut se traduire par :
-une iridocyclite
-une néphrite granulomateuse
-une hépatite granulomateuse
-une encéphalomyélite granulomateuse
-des pyo-granulomes multi-focaux intestinaux

Quelque soit la forme, il est conseillé de pratiquer des examens complémentaires comme une électrophorèse des protéines plasmatiques, une sérologie coronavirose et surtout un PCR quantitatif.

Les analyses de sang classiques indiquent une hyper protéinémie (hyper globulinémie), une hyper bilirubinémie fréquente ; la leucopénie et l'anémie sont inconstantes.
En cas de leucopénie, les chats contaminés seront susceptibles de contracter d'autres affections comme des voies respiratoires ( une herpèsvirose, une chlamydiose...).

L'imagerie va permettre d'identifier les organes atteints mais aucune image est spécifique de cette affection.

LA PROPHYLAXIE :

La vaccination n'est pas encore disponible actuellement en France.
Seules des mesures préventives sont à conseiller :
-isolement des animaux entrants ( quarantaine d'un mois) ; effectuer une sérologie et une électrophorèse
-enlever les chatons des mères positives à l'âge de 4-5 semaines, car la transmission de la mère aux chatons se fait principalement à l'âge de 5 à 7 semaines.
-bien désinfecter les cages, les litières et les gamelles
-être très sellectif dans les programmes d'élevage: n'utiliser comme reproducteur aucun mâle ou femelle qui ont engendré des chatons, morts de la PIF.

TRAITEMENTS :

-ALLOPATHIQUES :

Ils font appel souvent appel à des antibiotiques, corticoïdes, virucides et aux interférons, humain ou vétérinaire.
Leurs traitements  antibio-corticoïdes sont très décevants
D'après mes confrères Fabrice Hébert et Christophe Bulliot (2) ainsi que Mme Irène de Villiers, immunologiste, il faut éviter les corticoïdes.

Les interférons :

Certains vétérinaires disent avoir parfois des résultats avec les interférons qui stimulent l'immunité.
Cet avis est soutenu par Diane Addie, maitre de conférence à l'Université de Glasgow qui écrit dans une publication  : « L'Interferon Omega semble guérir environ un tiers des chats atteint de PIF..., Il semble extrêmement important de débuter le traitement dès que possible après l’apparition des signes cliniques »... (4).
Elle associe à son traitement d'autres médicaments comme des vitamines (A, B1, complexe B C, E et des stéroïdes anabolisants....

L'argent colloïdal :

Certains des mes confrères et consœurs préconisent de donner de l'argent colloïdal.
Ma consoeur le Dr Bernadette Bresard propose sur Bioveto de le donner en libre service en s'appuyant sur la démarche du Dr Jean Elminger, médecin homéopathe suisse (5).
L'argent colloïdal doit être mis dans une coupelle en verre et dilué avec un peu d'eau mis à la dispostion du chat.
Il semblerait que la concentration en 15 ppm (15 mg/l) soit la plus adaptée à cette espèce.
Sa posologie chez le chat va de 3ml à 10 ml par jour. Le traitement est poursuivi durant plusieurs semaines.

Les antiviraux :

La Morris animal Foundation étudie des antiviraux spécifiques pour traiter la PIF .
Des études ont lieu sur le terrain avec un inhibiteur de la protéase (GC376) et un inhibiteur nucléosidique (EV0984) qui sont apparus très prometteurs.
Dans un article du 17 décembre 2017, Vetitude («  l'information pour l'entreprise vétérinaire) dit : «  ces antiviraux spécifiques devraient devenir le traitement de choix de la péritonite infectieuse féline. La mise au point d’un traitement a été lente, mais désormais les scientifiques du monde entier disposent d’une solide base de données sur la PIF, source de progrès notables en particulier dans le domaine de la pharmacothérapie antivirale (6).


-INTÉRÊT DES HUILES ESSENTIELLES CHEZ LE CHAT ATTEINT DE LA PIF
par le Dr Joëlle Robyns vétérinaire (7)

La voie atmosphérique est le meilleur moyen d’initier les chats aux HE, il faut
commencer par de faibles doses. Les plus antivirales sont les HE de Ravintsara,
d’eucalyptus radié et de niaouli. Commencer par 1 puis augmenter progressivement
jusqu’à 5 à 10 gouttes dans un bol d’eau bouillante, ¼ d’heure matin et soir permet de
bien dégager et désinfecter l’arbre respiratoire lorsque celui-ci est atteint.
Une autre voie d’administration possible chez le chat est la voie transcutanée : les HE
passe rapidement la barrière de la peau pour pénétrer l’organisme. Il est alors tout à fait
possible de déposer les HE à un endroit où il n’arrive pas à se lécher : entre et/ou en
arrière des oreilles. Il faut toujours changer d’endroit et contrôler l’absence de réaction
locale avant chaque nouvelle application. Pour les diluer, je conseille plutot l’alcool ou
l’aloe vera que l’huile végétale qui rendra le poil gras. Le mieux étant d’appliquer 1 goutte
pure puis de recouvrir immédiatement avec de l’aloe vera et masser. Une préparation
vétérinaire existe, l’INHALVET®, que l’on peut utiliser par voie atmosphérique ou par voie
cutanée.
La prise d’huiles essentielles par voie orale chez le chat est délicate, tout d’abord parce
que le chat n'ingère pas n’importe quoi mais aussi parce que sa métabolisation des HE
est très lente. La prise orale d’HE doit aussi respecter des «fenêtres thérapeutiques» c-a- d
laisser l’organisme au repos 2 à 4 jours par semaine et donc donner les HE 3 à 5 jours par
semaine. Cette voie d’absorption doit être réservée à des maladies graves afin de juger de
l’effet «bénéfice/risque».
Une préparation sous forme de capsules molles, STIMUNVET® est disponible en
médecine vétérinaire ce qui est préférable pour éviter les accidents. Formulée avec les
huiles essentielles de thym satureoïde, de de ravintsara, d'eucalyptus radié et de clou de
girofle, ces huiles essentielles ont de puissantes vertus antivirales, anti bacteriennes,
antifongiques, antiparasitaires, stimulantes immunitaires et tonifiantes.
Les HE ne sont pas interdites chez le chat mais des précautions sont à prendre: choix de
l’HE et de sa dilution, méthode et voie d’application, nombre d’application journalière,
durée d’administration en n’oubliant pas de respecter des pauses et de contrôler le bon
fonctionnement de son organisme par des prises de sang.
La prise orale d’HE doit être réservée aux affections virales ou aux cas pour lesquels la
médecine vétérinaire traditionnelle est impuissante.

-ET L'HOMEOPATHIE ? :

Irène de Villiers en tant qu'immunologiste et éleveuse de chats a mis au point des traitements homéopathiques que ma consoeur le Dr Bernadette Bresard a développé dans son site Bioveto :
Elle m'a écrit à ce propos : « elle a mis au point un système de répertorisation sur la morphologie, tant anatomique que comportementale (façons de se coucher, façons de se déplacer...) l'idée étant de soutenir « le cablage énergétique » du chat car seul le chat peut régénérer son thymus afin qu'il reprenne le contrôle sur les macrophages ... ».

Selon les symptômes observés, Mme I de Villiers conseille Cinchona officianalis , Lycopodium clavatum, Baryta carbonica, Sulphur.


SERA COMPLETER PROCHAINEMENT !!!!!!!!


BIBLIOGRAPHIE :


(1)-Cooncept – PIF www.cooncept.fr/pif.php: traduit par Elisabeth. Relecture par Pascal Ramassamy, docteur vétérinaire et Odile.
Synopsis sur l'infection par le virus de la Péritonite Infectieuse Féline.
Par Niels C. Pedersen,

(2)-Guide pratique de Médecine Interne de F.Hébert et C.Bulliot (4è. édition méd'com)

(3)- Dictionnaire Pratique de Thérapeutique de R.Moraillon et col. (7è édition).


www.jelmiger.com/
6)-Vetitude » PIF : des avancées dans le traitement de la ...

(8)- http://ift.tt/2Fkvg6r

(9)-DrIrène de Villiers: c’est sa colère..et je la partage ...

bioveto.wordpress.com/2015/08/31/dr-irene-de...En




















ainsi, l'article

qui est tous les articles Cette fois-ci, nous l'espérons peut vous offrir des avantages à tous. Bon, vous voyez dans un autre article après .

Vous lisez maintenant l'article l'adresse du lien https://guerisonmaladie.blogspot.com/2018/03/la-peritonite-infectieuse-feline-dite.html

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